Pour trouver la voie, il faut couper la tête.
Bstan Pa est peintre au Tibet, au service de la religion bouddhiste. En 1968, les communistes chinois investissent le palais du Dalaï-Lama pour les soumettre à l’idéologie communiste et à l’autorité de Mao Zedong. Pendant sa captivité, Bstan Pa repense à son art, sa façon de préparer ses couleurs, de les poser sur ses feuilles de papier.
Très belle découverte de cette rentrée littéraire. Les caves du Potala nous replonge à une époque passée, en 1968, et en pleine révolution culturelle où le gouvernement chinois a voulu soumettre le Tibet à son autorité. Mais l’écrivain chinois Dai Sijie n’a pas voulu écrire un roman triste, au contraire il a fait un roman beau, coloré et spirituel puisque son personnage repense à son art, à ce qui l’anime.
Très beau roman de cette rentrée littéraire.
Un avis sur « Les caves du Potala, Dai Sijie »